Le cimetière militaire de la Somme américain est l'un des huit cimetières militaires américains de la Première Guerre mondiale administrés par l'American Battle Monuments Commission. Il est situé sur le territoire de la commune de Bony dans le département de... Agrandir
Le cimetière militaire de la Somme américain est l'un des huit cimetières militaires américains de la Première Guerre mondiale administrés par l'American Battle Monuments Commission. Il est situé sur le territoire de la commune de Bony dans le département de l'Aisne. Un mémorial a été édifié sous la forme d'une chapelle.
Ce cimetière, bien qu’officiellement intitulé Somme American Cemetery est situé dans le département de l'Aisne sur la commune de Bony.
Il se nomme ainsi car, en plus d'abriter les sépultures des soldats américains ayant combattu sur le site même du cimetière à partir du 24 septembre 1918 lors de la bataille de la ligne Hindenburg.
Un second mémorial monumental a été édifié à quelque 1 600 mètres à vol d'oiseau en bordure de la route de Saint-Quentin à Cambrai sur le territoire de la commune de Bellicourt, à l'aplomb du tunnel de Riqueval.
Ce mémorial rend hommage aux 90 000 soldats américains engagés dans la bataille de la ligne Hindenburg.
On y accède par un escalier monumental et du haut duquel on domine la campagne environnante. Le monument est dédié à la mémoire des 90 000 soldats américains engagés dans la bataille de la ligne Hindenburg.
Le monument est construit à l'aplomb du canal de Saint-Quentin, dans sa partie souterraine qui avait été utilisée par les Allemands pour y appuyer la ligne Hindenburg. / Réduire
Le souterrain de Riqueval (5 670 mètres) est situé sur la commune de Bellicourt, dans le département de l'Aisne. Il permet de relier Riqueval et Vendhuile en passant sous les villages de Bellicourt et Bony mais également sous le Mémorial... Agrandir
Le souterrain de Riqueval (5 670 mètres) est situé sur la commune de Bellicourt, dans le département de l'Aisne. Il permet de relier Riqueval et Vendhuile en passant sous les villages de Bellicourt et Bony mais également sous le Mémorial américain de Bellicourt. Construit sur le canal de Saint-Quentin entre 1801 et 1810, sur l'ordre de Napoléon Ier, il est le seul endroit au monde où l'on pratique encore le système du touage ou remorquage des péniches à la chaîne.
Pendant la traversée du tunnel qui durait deux à trois heures, les mariniers, libérés du travail de gouverne du bateau, se réunissaient à plusieurs pour manger des crêpes ou de la friture, et jouer de la musique. Bref, ils faisaient la fête, ce passage leur en offrant cette occasion pas si courante dans ce métier.
Sur le touage vous pouvez découvrir le musée du touage, aménagé dans un toueur électrique de 1910.
Ce site était hautement stratégique dans la reconquête de la France lors de la Première Guerre Mondlale. Les Allemands transforment ce canal souterrain en une véritable caserne avec des postes de secours creusés le long des berges. Des péniches servent de chambrées aux hommes. Fin septembre 1918, la prise de ce tunnel constitue un des temps forts de la bataille de la ligne Hindenburg. L’assaut a lieu le 29 septembre 1918. Le pont de Riqueval, un peu au dessus du touage, était le seul pont du canal encore intact, ce qui permit le passage des tanks britanniques et américains vers Montbrehain, dernier lieu de bataille des troupes australiennes. / Réduire
Le maréchal Foch répondant à une question de Haakon Wallem, riche industriel norvégien francophile, désigna Bouchavesnes comme le point culminant de la bataille de la Somme. C'est ainsi que la ville de Bergen devint la marraine de guerre de Bouchavesnes... Agrandir
Le maréchal Foch répondant à une question de Haakon Wallem, riche industriel norvégien francophile, désigna Bouchavesnes comme le point culminant de la bataille de la Somme. C'est ainsi que la ville de Bergen devint la marraine de guerre de Bouchavesnes et finança en partie la reconstruction du village. En reconnaissance de la générosité des Norvégiens, la commune prit, en 1920, le nom de Bouchavesnes-Bergen. La statue du Maréchal Foch dans le village est un don de Haakon Wallem. / Réduire
Rancourt a le triste privilège d'abriter 3 cimetières militaires : un allemand, un britannique, ainsi que la plus grande nécropole française du front de la Somme. Au cœur de cette dernière se dresse une chapelle en pierres de taille dans... Agrandir
Rancourt a le triste privilège d'abriter 3 cimetières militaires : un allemand, un britannique, ainsi que la plus grande nécropole française du front de la Somme. Au cœur de cette dernière se dresse une chapelle en pierres de taille dans laquelle un petit musée renseigne sur l’aprêté des combats de 1916, documents et objets à l'appui. On y apprend aussi quelle fut la motivation de la famille Du Bos d’ériger un tel monument.
La Chapelle du Souvenir Français demeure une étape incontournable d'un périple en hommage aux soldats de la Grande Guerre. Au cœur du Circuit du Souvenir, Rancourt est un lieu pour les férus d'histoire où le recueillement et le sens de la camaraderie sont à l'honneur ! A proximité de la Chapelle, les 3 cimetières, français, britannique et allemand, évoquent les dangers communs aux hommes de toutes nations montés au front... / Réduire
Bien que le lieu soit domicilié dans l'Aisne, il est appelé "Cimetière Americain et Memorial Americain de la Somme" car il regroupe les tombes des soldats américains tombés lors de la Bataille de la Somme 1918, ainsi que l'Offensive des... Agrandir
Bien que le lieu soit domicilié dans l'Aisne, il est appelé "Cimetière Americain et Memorial Americain de la Somme" car il regroupe les tombes des soldats américains tombés lors de la Bataille de la Somme 1918, ainsi que l'Offensive des Cent Jours et la Bataille de la Ligne Hindenburg. Il rend ainsi hommage aux 90 000 soldats engagés dans ce conflit.
Ce site, composé d'un gigantesque mémorial ainsi que d'un grand cimetière, sont deux lieux séparés d'environ 2 kilomètres (Mémorial à Bellicourt, Cimetière à Bony). Le mémorial américain est dédié aux unités américaines qui ont combattu aux côtés des armées britanniques en France : les 27e et 30e divisions arrivées dans le secteur après avoir combattu en Belgique en septembre 1918.
Le monument est construit à l'aplomb du canal de Saint-Quentin, dans sa partie souterraine qui avait été utilisée par les Allemands pour y appuyer la ligne Hindenburg. / Réduire
Le mémorial national sud-africain du bois Delville est un monument commémoratif de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Longueval, dans le département de la Somme. Il commémore l’engagement des troupes sud-africaines pendant la Grande... Agrandir
Le mémorial national sud-africain du bois Delville est un monument commémoratif de la Première Guerre mondiale situé sur le territoire de la commune de Longueval, dans le département de la Somme. Il commémore l’engagement des troupes sud-africaines pendant la Grande guerre. Un musée commémoratif retrace l’histoire de la participation de l’Afrique du Sud à la Première, à la Seconde Guerre mondiale et aux différents conflits de la guerre froide. Le cimetière militaire britannique du bois Delville est situé en face du mémorial.
Le bois Delville représente, pour les Sud-Africains, le lieu où les soldats de l'Union sud-africaine ont été engagés pour la première fois sur le front occidental. Le 14 juillet 1916, la brigade sud-africaine, composée de quatre bataillons, environ 3 150 hommes, avait reçu l'ordre de tenir ses positions « coûte que coûte ». Sous le feu incessant de l'artillerie ennemie, ils avaient résisté et connus un véritable enfer (Delville wood sera rebaptisé Devil wood, le bois du Diable). Quand ils furent relevés le 20 juillet, ils laissèrent 1 080 des leurs, tués ou disparus et 1 735 blessés. Situé dans un parc de 63 ha, le mémorial national sud-africain du bois Delville commémore le sacrifice sur le sol de France des soldats de la 1re Brigade d'infanterie sud-africaine (1st South African Infantry Brigade) qui prit part aux combats de la Bataille de la Somme à partir du 15 juillet 1916.
Deux autres monuments similaires représentent les Dioscures : l'un à Pretoria, le Delville Monument devant les Union Buildings , et l'autre au Cap, commémorent la bataille du bois Delville.
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Le Mémorial national néo-zélandais de Longueval est situé sur le territoire de la commune de Longueval dans le département de la Somme. Il commémore la participation de la division néo-zélandaise à la bataille de la Somme en 1916. Il se... Agrandir
Le Mémorial national néo-zélandais de Longueval est situé sur le territoire de la commune de Longueval dans le département de la Somme. Il commémore la participation de la division néo-zélandaise à la bataille de la Somme en 1916. Il se compose du cimetière militaire britannique Caterpillar et du monument à la division néo-zélandaise.
Après avoir participé à l'expédition des Dardanelles, la division néo-zélandaise fut envoyée sur le front occidental où elle participa à la bataille de la Somme. Le 15 septembre 1916, les soldats néo-zélandais participèrent à la première bataille de chars entre le village de Longueval et le Bois des Fourcaux (High Wood) et prirent le village de Flers. Ils participèrent ensuite à la prise de la Butte de Warlencourt (Pas-de-Calais).
En dessous du monument, le cimetière de Caterpillar Valley rassemble 5 569 sépultures de soldats du Commonwealth dont 5 229 britanniques, 214 néo-zélandais, 100 australiens, 18 sud-africains, 8 canadiens. C'est, par le nombre de personnes inhumées, le deuxième cimetière militaire britannique du département de la Somme. / Réduire
Ce monument a été érigé par le gouvernement de Terre-Neuve (Canada) sur l'ancien champ de bataille où les soldats du Régiment de Terre-Neuve ont enlevé aux Allemands la tranchée « Rainbow », en octobre 1916. Une tranchée sinueuse serpente au pied... Agrandir
Ce monument a été érigé par le gouvernement de Terre-Neuve (Canada) sur l'ancien champ de bataille où les soldats du Régiment de Terre-Neuve ont enlevé aux Allemands la tranchée « Rainbow », en octobre 1916.
Une tranchée sinueuse serpente au pied d'un rocher artificiel surmonté d'une statue de caribou. Le monument est entouré d'arbres qui constituent un bosquet dominant le vallon. / Réduire
Lieu de mémoire majeur de la Grande Guerre, le mémorial national australien de Villers-Bretonneux est dédié à tous les morts australiens sur le front occidental lors de la Première Guerre mondiale. Perché au sommet d'une petite colline à 15min d'Amiens,... Agrandir
Lieu de mémoire majeur de la Grande Guerre, le mémorial national australien de Villers-Bretonneux est dédié à tous les morts australiens sur le front occidental lors de la Première Guerre mondiale.
Perché au sommet d'une petite colline à 15min d'Amiens, le Mémorial national Australien de Villers-Bretonneux porte les noms des 11000 soldats australiens morts pour la France, disparus ou n'ayant pas de sépulture connue durant la Première Guerre mondiale. C'est ici même que l'on célèbre chaque 25 avril la "down ceremony" de l'ANZAC day retransmise à la télévision australienne en hommage aux frères d'armes Australiens et Néo-zélandais tombés pendant la Grande Guerre.
N'oubliez pas de gravir l'escalier qui vous emmène au sommet de la tour et vous livre une vue 360° sur la campagne environnante, sur les sites australiens du front de l'ouest et par beau temps sur la Cathédrale d'Amiens. / Réduire
Le 4 juillet 1918, avec l'appui des Américains, le général Monash lança une attaque victorieuse d'envergure en alliant pour la première fois infanterie, artillerie, aviation, et blindés, préfigurant ainsi la tactique de guerre moderne. Ce parc commémoratif a été aménagé dans... Agrandir
Le 4 juillet 1918, avec l'appui des Américains, le général Monash lança une attaque victorieuse d'envergure en alliant pour la première fois infanterie, artillerie, aviation, et blindés, préfigurant ainsi la tactique de guerre moderne.
Ce parc commémoratif a été aménagé dans le village de Le Hamel par l'Etat australien et inauguré le 7 août 1998. Par un système de découverte panoramique et un jalonnement de panneaux explicatifs, le site permet de comprendre l'enjeu stratégique qu'il représentait pendant la bataille. Quelques tranchées y ont été conservées. / Réduire
100 ans après sa mort, le Baron Rouge reste une véritable légende. L'aviateur allemand Manfred van Richthofen, était l'as des as, l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur. D'abord officier de cavalerie lors de la Première Guerre mondiale, il se... Agrandir
100 ans après sa mort, le Baron Rouge reste une véritable légende. L'aviateur allemand Manfred van Richthofen, était l'as des as, l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur.
D'abord officier de cavalerie lors de la Première Guerre mondiale, il se tourne finalement vers l'aviation, et livre son premier combat aérien en septembre 1915. C'est deux ans plus tard qu'il acquiert son surnom, à mesure qu'il enchaîne les victoires. Au total, le Baron Rouge, à bord de son célèbre avion, un Fokker Triplan peint d'une couleur vive qui tranche avec les habituelles couleurs de camouflage, sort vainqueur de 80 combats. Mais le 21 avril 1918, celui que l'on surnommait aussi "le Diable rouge" s'envole pour la dernière fois. Après qu'il a décollé de Cappy, dans la Somme, il est en effet abattu par un tir de l'artillerie australienne alors qu'il est en train de chasser un avion britannique. Touché à la poitrine, il parvient à se poser à Vaux-sur-Somme. Quelques instants après, le Baron Rouge succombe à ses blessures.
Le lieu est très peu indiqué, dans un champ entre Corbie et Bray sur Somme. Sinon, une stèle commémorative est située dans le village de Vaux sur Somme. / Réduire
Situé au bout d'une route de champ interminable, le petit dragon gallois est fièrement dressé sur une butte, face au Bois de Mametz. Contournant le “saillant de Fricourt” par le sud, la 7ème division britannique s’empara du village le 1er... Agrandir
Situé au bout d'une route de champ interminable, le petit dragon gallois est fièrement dressé sur une butte, face au Bois de Mametz. Contournant le “saillant de Fricourt” par le sud, la 7ème division britannique s’empara du village le 1er juillet 1916 dans l’après-midi. Mais le nom de Mametz est resté lié au bois qui se situe au nord-est.
Le bois de Mametz était un lieu de résistance et de danger. Les militaires du Pays de Galles le récupèrent pourtant le 12 juillet 1916 après 8 jours de combats acharnés et au prix de très lourdes pertes. Le chemin des gallois vous mènera au mémorial.
Inauguré le 11 juillet 1987, le monument à la 38ème division galloise s’orne d’un dragon rouge, emblème du Pays de Galles. Les ailes en mouvement, il tient dans ses griffes des barbelés en direction du bois de Mametz, rappelant l’acharnement des combats. / Réduire
Hameau situé aux confins de l'Artois et de la Picardie, le village de Pozières est situé sur la route d'Albert à Bapaume. Il présente plusieurs lieux et vestiges de la Première Guerre Mondiale et est le centre de mémoire le... Agrandir
Hameau situé aux confins de l'Artois et de la Picardie, le village de Pozières est situé sur la route d'Albert à Bapaume. Il présente plusieurs lieux et vestiges de la Première Guerre Mondiale et est le centre de mémoire le plus important, avec Villers-Bretonneux, pour les Australiens du monde entier. Durement touché, voire même détruit, le village de Pozières reste à ce jour le village de la Somme avec le plus grand nombre de sites de mémoires.
C'est de là que partent également les premiers tanks, le 1er Septembre 1916, avec le Mark I britannique, premier tank opérationnel au monde. Vous pouvez trouver dans ce village des sites mémoires aussi importants qu'insolites. Un incontournable du Circuit du Souvenir ! / Réduire
Fièrement dressée entre le monument de Thiepval et le parc terre-neuvien de Beaumont-Hamel, la tour d'Ulster, plus intime que les mémoriaux voisins, témoigne du sacrifice irlandais lors du premier conflit mondial. Cernée de cimetières du Commonwealth, l'enceinte offre un cadre... Agrandir
Fièrement dressée entre le monument de Thiepval et le parc terre-neuvien de Beaumont-Hamel, la tour d'Ulster, plus intime que les mémoriaux voisins, témoigne du sacrifice irlandais lors du premier conflit mondial. Cernée de cimetières du Commonwealth, l'enceinte offre un cadre confidentiel et naturel privilégié pour découvrir l'édifice et se souvenir de chacun des hommes de la 36eme division d'Ulster tombés au combat.
Un lieu de mémoire central sur le circuit du souvenir de la bataille de la Somme tant le sacrifice des soldats de la 36eme division de l'Ulster fut grand. Ici on se balade dans le petit parc qui encercle la tour Gothique avant d'y pénétrer un instant pour découvrir le curieux imbroglio d'objets déposés ça et là en hommages aux fils d'Irlande. Autour de l'enceinte, découvrez deux cimetières du Commonwealth parmi les plus paisibles du front ouest. A l'image des "bataillons de copains" qui s’engageaient ensemble pour défendre la couronne d'Angleterre sur le front de la Somme, imprégnez vous de l'ambiance singulière des champs de bataille du front occidental auprès de ce monument clés du circuit du souvenir. Ici ce sont les hommes de la 36eme division de l'Ulster que l'on honore. "Irish pride", tour gothique, et cadre bucolique à deux pas des autres grands sites de mémoire ! / Réduire
45m de haut. Un arc de triomphe exceptionnel visible à des kilomètres à la ronde. Commémorant les 72000 hommes des armées britanniques et sud-africaines qui sont morts et portés disparus entre juillet 1915 et mars 1918, le mémorial britannique de... Agrandir
45m de haut. Un arc de triomphe exceptionnel visible à des kilomètres à la ronde. Commémorant les 72000 hommes des armées britanniques et sud-africaines qui sont morts et portés disparus entre juillet 1915 et mars 1918, le mémorial britannique de Thiepval est un incontournable du Circuit du Souvenir ! C'est à ce jour le plus grand mémorial britannique de guerre au monde.
On évoque également ici l'amitié franco-britannique : derrière le gigantesque arc de triomphe reposent les frères d'armes des deux nations. / Réduire
Le Mémorial terre-neuvien à Beaumont-Hamel fait figure de symbole important du Souvenir et de tribut durable pour tous les Terre-Neuviens qui ont servi pendant la Première Guerre mondiale. Au cœur de ce mémorial se dresse un grand caribou de bronze... Agrandir
Le Mémorial terre-neuvien à Beaumont-Hamel fait figure de symbole important du Souvenir et de tribut durable pour tous les Terre-Neuviens qui ont servi pendant la Première Guerre mondiale. Au cœur de ce mémorial se dresse un grand caribou de bronze (l’emblème du Royal Newfoundland Regiment). Son regard défiant fixé pour toujours vers ses anciens ennemis, le caribou surveille les champs qui conservent toujours en leur sein de nombreux soldats sans sépulture finale connue.
Tranchées, monuments, no man's land, ravins, mémoriaux ... Avec plus d'une dizaine de sites dans ce parc de près de 30 hectares, il vous faudra une bonne moitié de journée pour apprécier tout ce que le parc a à vous faire découvrir. N'hésitez pas un seul instant à aller sur ce site en famille ! / Réduire
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